Entre photographie et peinture
Pourquoi photographier? Un besoin d'autopsier le réel ? Tenter de saisir une suite d'instants, d'en figer un peu de mémoire, tout en sachant que les photographies finissent par altérer cette réalité volée ?
Pourquoi ce besoin quasi vital de photographier qui m'habite ?
Je photographie depuis si longtemps que c'est devenu une seconde nature, que ma vision en a été déformée.
Le dessin et la peinture ont très tôt fait partie de ma vie eux aussi, mais ils n'ont pas le caractère quasi vital que prend la photographie. Je me suis essayée à toutes les formes d'expression graphiques.
J'écris aussi, bien que je ne sois pas très à l'aise avec l'orthographe et la grammaire. A lire ce qui posté sur le Net, j'ai moins d'hésitations.
J'avais commencé avec l'écriture automatique, pour moi, dans plusieurs "journaux" que j'ai détruits depuis.
A présent l'écriture me suit tout au long de mes articles de blogs;
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Enfin, je suis aussi passionnée d'histoire, depuis très longtemps. Mais pas celle des "grands personnages" ni celle des guerres et autres conquêtes, non c'est celle des hommes qui m'intéresse.
J'ai consacré un blog à cette passion, à travers le prisme de mes centres d'intérêt.
Les petites têtes sculptées de la rotonde de Simiane me servent de bannière, et j'ai choisi une phrase entendue lors d'une émission d'Arte sur l'Orient mirage de l'Occident, pour résumer ma vision de l'histoire :
"Il y eut une longue respiration dans l'histoire de l'humanité où, malgré les guerres, les tueries, les famines, les pestes et autres épidémies, l'homme a pu croire qu'il avait un avenir."
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1981 - J'arrive à Mâcon, l'un des meilleurs moments de ma vie. Je fais de la peinture, du modèle vivant, de la gravure... et même de la musique.
1991 je reviens à Valence, me rapprocher de mes parents, et venir travailler dans le lycée où j'avais fait mes études. Double erreur !
2008, je pose devant une tapisserie reproduisant un motif de William Morris, ma sœur m'avait transmis son intérêt pour ses créations.
A Avignon je découvre la calligraphie et l'enluminure.
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2014 je pars d'Avignon, je n'ai pas pu emporter cette tapisserie à Guilherand : appartement plus petit = moins de murs.
Mais ici je reprends mes activités créatrices, principalement la photo et la peinture.
Des lieux, des dates repères !
1978 - J'arrive à Troyes, après un an halluciné dans les Ardennes (souvenir à Rimbaud et Verlaine qui avait sa maison dans le village) je démarre vraiment ma carrière professionnelle et je prends contact avec l'école d'art, et surtout avec la peinture.
1981 - Je déménage à Mâcon, l'un des meilleurs moments de ma vie. Je fais de la peinture, du modèle vivant, de la gravure... et même de la musique.
1991 je reviens à Valence, me rapprocher de mes parents, et venir travailler dans le lycée où j'avais fait mes études. Double erreur !
1995 - Je quitte Valence pour Carpentras Là je reprends le modèle vivant, puis je m'initie à la technique de l'acrylique.
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2005 je pars pour Avignon. Entre temps Marie José est tombée malade et nous a quittés en 2002, un jour après la reine mère. Ah oui, c'était à Londres. et ma vie s'est comme cassée en deux.
2008, je pose devant une tapisserie reproduisant un motif de William Morris, ma sœur m'avait transmis son intérêt pour ses créations.
2008 c'est aussi la date de mon départ en retraite.
A Avignon je découvre la calligraphie et l'enluminure
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2014 je pars d'Avignon, je n'ai pas pu emporter cette tapisserie à Guilherand : appartement plus petit = moins de murs.
Mais ici je reprends mes activités créatrices, principalement la photo et la peinture.